Alenko - Auteur - Compositeur - Interprete - Genève - Suisse

C’est en 1998 qu’Alenko, auteur-compositeur-interprète, Italo-russo-polono-français sort son premier single « So precious » aux couleurs so so soul, et le voilà propulsé au Paléo Festival de Nyon et au Festival pour l’Europe. Dans la foulée, il est primé artiste francophone de l’année aux « Francomélodies ». À la recherche de nouveaux métissages musicaux, il fait partie des pionniers de « l’Electro-House-Live-Performance ». Touche à tout : rock, new soul et électro-pop, il compose et tourne avec Aloan (2004-05 Album « We Play » ) et se produit même à capella. En 2005, inspiré par un voyage au Sahara, il sort « 36 », son premier opus solo, en collaboration avec Christophe Calpini, co-compositeur d’Imprudences d’Alain Bashung. Cet album, tendance pop, teinté d’électro, passe les frontières suisses et intéresse les oreilles de nombreuses radios internationales. La même année, il reçoit le prix du meilleur artiste francophone aux prestigieux Freddie Mercury Live Awards de Montreux, qui lui vaut de rencontrer le non moins célèbre Luc Plamondon. Celui-ci, en plus de ses succès « starmaniaques » et autres « Notre Dame de Paris », lui promet l’écriture d’une chanson, sortant des sentiers battus, pour son prochain album. Depuis, Alenko révèle son univers musical « caméléonesque », du Paléo Festival de Nyon aux scènes parisiennes. En 2007 et 2008, sa formation acoustique envoûte plusieurs premières parties de concert de Charlélie Couture. Son dérisoire « l’insatiable du Swingblackbigbangboogie » annonce l’arrivée de « Silence…, on tourne ! », son nouvel album très corsé ! « Silence…, on tourne!» mélange humour décalé, amour inachevé, gravité bien centrée et dérision détachée sur des mélodies fragiles, sauvages, sensuelles et parfois… brutes de décoffrage. Alenko pose sa voix sur un éclectisme « tango-disco-punk-soul-rock-world-urbain ». Dans un monde qui ne tourne plus rond, écouter « Silence…, on tourne !», c’est un peu comme dévorer un loukoum épicé dans un cabaret enfumé de Buenos Aires. C’est bon. Très très bon… ça réveille les sens et peut faire perdre le nord!