Lavaur, France
- La
Dépêche du Midi - Publié le 16 août 2012
« ...Depuis
déjà plusieurs années Violaine Condat, avec ses contes merveilleux et
traditionnels, en fait rêver plus d'un, pendant environ 1h30. Une ballade à
travers le temps, les continents, les esprits, les traditions, partagée par
autant d'adultes que d'enfants, venus pour cet agréable moment...
...Chaque
fois, Violaine Condat sait créer l'ambiance et capter l'attention grâce à sa
gestuelle et à ses intonations : une narratrice, doublée d'une bonne
comédienne, rendant les contes vivants pour le plaisir de tous. »
- Conteuse professionnelle, Violaine Condat s'adresse à tous les
publics : les petits bien-sûrs mais aussi les adultes. « Je me
bats pour que les contes ne soient pas réservés aux enfants. »... Et
Violaine Condat propose, dans le cadre « Des contes pour les
Aînés », « des contes
facétieux où les antihéros font rire, des histoires qui donnent le goût du
positif, de l’émerveillement, de l'espoir... ». D'un coup d'œil elle
vérifie que tout le monde est monté à bord... « Je pose quelquefois
des questions, certains contes s'y prêtent plus que d'autres comme « Les
plus beaux échanges du Père François ». Parfois je chante... ils
reprennent les airs avec moi, même s'ils ne connaissent pas les paroles. Je
puise dans le répertoire populaire, c'est un répertoire qui n'a pas de
frontière. «
C'est un temps apaisé, lumineux... -
Grand A (Journal de la
Communauté de l'Agglomération de l'Albigeois)
nov-déc 2013
C'est la magie du merveilleux peuplé de fées, de sorcières, de loups et de héros qui s'est invitée au programme de l'après-midi «contes» mercredi dernier. Violaine Condat, conteuse professionnelle, explore le répertoire populaire et entraîne son auditoire dans les forêts à la découverte d'une sagesse ancestrale : un régal pour les oreilles des petits et des grands.La bibliothèque municipale affichait complet : une trentaine d'enfants et leurs parents ont écouté, captivés, une heure durant, l'histoire de Biquette, la petite chèvre rebelle, Plume d'Ajasse et les « 3 demoiselles des bois », les fées bienfaisantes. Puis Adelin le violoneux a ensorcelé les lutins de la forêt en les entraînant dans une danse effrénée qui rendit le loup inoffensif. Ensuite, on a suivi l'histoire du garde forestier qui trouve un nouveau né dans la forêt et l'adopte en le baptisant «Volé Trouvé». C'est simple, efficace, les enfants en redemandent, ils répondent aux questions qui sont autant de ponctuations pour maintenir le public en haleine. Quand la vieille sorcière tombe dans l'étang et se noie, les enfants approuvent, ils trouvent normal qu’elle reçoive un châtiment. Enfin, la part belle a été faite au loup qui cristallise tous les défauts et qui finalement est pris au piège de la malice…Nous laisserons le mot de la fin à Elodie «je voudrais bien que tu reviennes l'an prochain !»La Dépêche du Midi