oubaley se propose de questionner l’interprétation comme
objet de regard et d’adresse. Le miroir servira ici de support
métaphorique aux relations qu’entretient le danseur et chorégraphe avec
l’espace de la danse, de la scène, de la lumière et d’un écho sensible
au sens large. Le miroir renvoie à la fois l’image de soi et sa
part d’invisible ; il conjugue invariablement la dimension de réel et
d’imaginaire. Il révèle également une part de vérité, mais aussi
d’imprévisible lié à un état d’être, à une alchimie du temps et du geste
où le corps tout entier se reflète et se déwww.*******.***s
l’expression de son propre reflet, Salia Sanou plongera dans son
intériorité pour tenter de déjouer son image. Du corps dansé au corps
regardé, la relation qui s’établit questionne l’intime comme
«l’extime». La danse s’entrecroisera avec la musique originale,
interprétée en direct par Takumi Fukushima, virtuose de violon
contemporain, également prise dans le jeu du regard et du mouvement. La
scénographie de Mathieu Lorry-Dupuy composera l’espace et ouvrira des
possibles aux interprètes ; dès lors l’écriture chorégraphique se
construira par association de mouvements et de matériaux offrant
différents jeux d’images
Le prestataire se déplace dans un rayon de 250 kilomètres autour de Ouagadougou.
En un coup d'oeil !
Localisation | Ouagadougou - Bénin |
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